La thérapie manuelle des points triggers :


L'art de la thérapie des points triggers consiste à diriger l'attention sur le plus petit changement dans le tissu en gardant la globalité de l'homme.
Les thérapeutes des points triggers sont des experts de l'anatomie topologique et fonctionnelle, ainsi que de la palpation nuancée  de l'appareil locomoteur.

Le fait, que la musculature  peut-être  l'origine des douleurs et des dysfonctions et connu dans l'histoire de la médecine depuis longtemps, pour décrire des états douloureux de la musculature au delà  des courbatures normales et des maladies musculaires rhumatologique inflammatoires.

* Point trigger myofascial (pTrM) :

Cliniquement  parlant on entend par là une zone microscopique qui se trouve dans un cordon musculaire de la musculature squelettique. Sur stimulation mécanique ( pressions contractions) cette zone réagit hyper sensiblement. Cette hypersensibilité peut s'exprimer par des douleurs locales ou/et référées, dysesthésie ainsi que des phénomènes autonomes.

Pathophysiologiquement expliqué il s'agit d'une zone hypoxique localement  limitée de la musculature squelettique. L'hypoxie  mène vers une crise d'énergie. Ceci provoque, des fibres musculaires séparées ne se décontractent  plus. On appelle ce phénomène des fibres séparées, qui restent contractions, un " complexe de rigidité ".


* Point trigger myofascial actif :

S'agissant  d'un PTrM actif, déjà le tonus musculaire normal ou un stimulus mécanique physiologique suffisent pour déclencher des symptômes dans la zone de référence.


* Point trigger myofascial latent :

Des points triggers latents sont cliniquement muets.
Il s'agit des points qui réagissent ou bien après simulation mécanique forte avec des symptômes typiques ou bien ils produisent déjà des symptômes sur stimulation mécanique basse qui ne sont pas reconnus par le patient. Si symptômes provoqués sans les mêmes qu'un PTrM actif. La différence entre PTrM actif et latent n'est pas toujours évidente.


*Point trigger myofascial primaire :

Un PTrM qui s'est formé à cause d'une surchargé aiguë ou chronique du muscle concerné.


*Point trigger myofascial secondaire :

Un PTrM , qui s'est développé secondairement  dans un muscle antagoniste et/ou synergiste  du muscle, qui est concerné par le PTrM primaire. Des PsTrM secondaires se développent, parce que le muscle comme antagoniste doit combattre davantage la tension élevée le muscle concerné par le PTrM primaire  ou bien parce que le muscle comme synergiste  doit soutenir le muscle concerné par  le PTrM primaire.


* Point trigger satellite :

Un PTrM qui snest développé dans la zone de référence d'un autre PTrM.


* Point triggers  myofasciaux  associés : Un groupe les PsTrM secondaires et les points triggers  satellites sous le terme des "PsTrM associés". Ces derniers se sont développés à la suite d'une activité d'un point triggers  dans un autre muscle.


* Syndromes myofasciale douloureux (SMD ) :

Les déclencheur d'un SMD sont des PsTrM actifs et/ou latents. Un SMD est marqué par _des douleurs d'un PTrM dans la zone de référence, des perturbations de la fonction intra- et/ou inter  musculaire,_ des restrictions de mouvement , un type  de mouvement dysfonctionnel, une perte de la force,_des "entrapements " de nerfs périphériques ou des dysfonctions articulaire "blocage".
On parle d'un SMD primaire si le déclencheur des PsTrM sont des  surcharges mécaniques directes des muscles concernés.
On parle d'un SMD secondaire, si d'autres maladie de l'appareil locomoteur ou des organes internes sont responsable pour la formation des PsTrM

- en vertu de reflexes somato-somatogènes respectivement réflexes viscéro-somatogènes.

Etiologie de PsTrM :

* mécanisme de formation direct: - surcharge aiguë musculaire à la suite d'une charge trop importante ou inattendue, le travail musculaire excentrique et plus risqué

- surcharge répétitive continue en activité dynamique ou  statique
- élongation aigu
- traumatisme direct ( contusions et compression)


* mécanisme de formation indirect

- activation par des PsTrM d'une autre localisation
- reflex somato-somatogènes
- "entrapement " de nerfs périphérique
- facteurs psychique
- facteurs écologique comme un climat froid ou humide
- facteurs alimentaire comme par exemple carence du complexe de la vitamine B du magnésium ainsi que des perturbations de l'équilibre acido-basique

Diagnostic du SDM :

Peut apparaître localement par quadrant ou généralisé. La forme généralisée peut-être confondue avec le diagnostic de la fibromyalgie.
Comme le SDM peut provoquer de multiples signes cliniques, un bilan détaillé du patient est important, dont une anamnèse approfondie, une inspection en repos, une inspection en mouvement, un examen fonctionnel des articulations, les test neuro- dynamiques et notamment la palpation nuancée des parties molles, qui est à faire spécifiquement tissu par tissu, en font partie.

Indications :

Le domaine rhumatologique et orthopédique
Applicable pour des maladies avec des tendances chronique dans le secteur de l'orthopédie sportive même dans l'état post opératoire

Contre-indications Générales :

Infection aigue
Anticoagulant
Manque  de coopération de la part du patient
État fébrile
Urgences aiguë
Hématome
Fracture instable
Ostéoporose

Contre-indications relatives :

Grossesse
Enfants
Maladie psychique

Complications de la thérapie
Si on prend soigneusement les  contre-indications en considération, il n'y a pas de complications par l'application professionnelle  de la thérapie manuelle des points triggers,

L'apparition dan hématome de taille différentes et une réaction indésirable fréquente suite  d'une compression d'un PTrM. Le patient peut sentir une sorte de courbatures à l'endroit traité jusqu'à 4 jours après le traitement
Ces réactions de thérapie sont expliquées dans notre cabinet de façon détaillées.